[FR] L'exposition "Au champ" est en cours de préparation et porte sur les jardins ouvriers. Apparus à la fin du XIXème siècle, ils sont alors mis à disposition ou loués aux ouvriers pour leur permettre d'améliorer leurs conditions de vie et notamment leur autonomie alimentaire. Selon certains historiens, les promoteurs de l'époque, l'Eglise et le patronat, espéraient ainsi focaliser le temps libre des ouvriers. Quelques soient leurs raisons d'être, ces jardins sont aujourd'hui à la fois un symbole du lien à la terre et un symbole de la classe ouvrière. Qu'en est-il aujourd'hui au XXIème siècle ? Alors que les services ont pris le pas sur l'industrie, que l'évolution des métiers et l'urbanisation ont complètement redistribué les cartes. Que représentent encore ces ilôts verts, ces jardins ouvriers devenus familiaux ? Pour l'auteur, ce sont aussi des lieux de mémoire qui ramènent aux étés passés au champ avec ses grands-parents.
L'approche documentaire menée ici se focalise sur les jardins familiaux et leur esthétique, une manière de questionner leur place dans les paysages, la société et l'urbanisme d'aujourd'hui. Les prises de vue ont été réalisées entre février et juin 2024 en Loire-Atlantique (Nantes, Rezé, Bouguenais, Saint-Philbert-de-Grand-Lieu, la Chevrolière, Donges, Montoir de Bretagne, Saint-Nazaire). Les 54 clichés de la série couvrent 14 jardins du 44.
Ce projet est mené avec le mentorat de François Taverne, photographe et enseignant aux Beaux-Arts de Nantes-Saint Nazaire depuis 2008.
Ce projet a donné lieu à la publication d'un livre accessible gratuitement en ligne (ici). La version papier est vendue à prix libre (coût d'impression : 24 euros) et les bénéfices sont reversés à une association. Contactez-moi sur johann@pintiaux.com pour en savoir plus.
[FR] L'exposition "Au champ" est en cours de préparation et porte sur les jardins ouvriers. Apparus à la fin du XIXème siècle, ils sont alors mis à disposition ou loués aux ouvriers pour leur permettre d'améliorer leurs conditions de vie et notamment leur autonomie alimentaire. Selon certains historiens, les promoteurs de l'époque, l'Eglise et le patronat, espéraient ainsi focaliser le temps libre des ouvriers. Quelques soient leurs raisons d'être, ces jardins sont aujourd'hui à la fois un symbole du lien à la terre et un symbole de la classe ouvrière. Qu'en est-il aujourd'hui au XXIème siècle ? Alors que les services ont pris le pas sur l'industrie, que l'évolution des métiers et l'urbanisation ont complètement redistribué les cartes. Que représentent encore ces ilôts verts, ces jardins ouvriers devenus familiaux ? Pour l'auteur, ce sont aussi des lieux de mémoire qui ramènent aux étés passés au champ avec ses grands-parents.
L'approche documentaire menée ici se focalise sur les jardins familiaux et leur esthétique, une manière de questionner leur place dans les paysages, la société et l'urbanisme d'aujourd'hui. Les prises de vue ont été réalisées entre février et juin 2024 en Loire-Atlantique (Nantes, Rezé, Bouguenais, Saint-Philbert-de-Grand-Lieu, la Chevrolière, Donges, Montoir de Bretagne, Saint-Nazaire). Les 54 clichés de la série couvrent 14 jardins du 44.
Ce projet est mené avec le mentorat de François Taverne, photographe et enseignant aux Beaux-Arts de Nantes-Saint Nazaire depuis 2008.
Pour en savoir plus : lire l'intro et l'outro.
Ce projet a donné lieu à la publication d'un livre accessible gratuitement en ligne (ici). La version papier est vendue à prix libre (coût d'impression : 24 euros) et les bénéfices sont reversés à une association. Contactez-moi sur johann@pintiaux.com pour en savoir plus.